HOW TO SAVE A LIFE
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.



 
AccueilAccueil  RechercherRechercher  Dernières imagesDernières images  S'enregistrerS'enregistrer  ConnexionConnexion  
-45%
Le deal à ne pas rater :
WHIRLPOOL OWFC3C26X – Lave-vaisselle pose libre 14 couverts – ...
339 € 622 €
Voir le deal

Partagez | 
 

 ▷ Croire en soi c'est presque réussir

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas 
AuteurMessage
Z. Jayson Avery-Windsord

Z. Jayson Avery-Windsord

♦ Messages : 138
♦ Date d'inscription : 11/10/2011
♦ Dans le service : **
♦ Citation : Certains pensent que le vol du corbeau guide les voyageurs jusqu'à leur destination, d'autres croient que la vue d'un corbeau solitaire est un heureux présage. Par contre si l'on en voit plusieurs à la fois les ennuis sont à prévoir, enfin voir un corbeau avant la bataille signifie que la victoire est à vous.


- HERE WE STAND.
Statut : Célibataire
Relations :

▷ Croire en soi c'est presque réussir  Empty
MessageSujet: ▷ Croire en soi c'est presque réussir    ▷ Croire en soi c'est presque réussir  EmptyVen 14 Oct - 2:17

▷ Croire en soi c'est presque réussir  Tumblr_lsr96aLB8n1r1jtwso1_500

Je viens d'arriver à l'hôpital prenant l’ascenseur je me dirigeais directement et machinalement vers le vestiaire des internes, je voyais les premières années qui attendait de savoir ce qui aller se passer, ceux qui ne préférait pas parler, ceux encore qui parlait trop ou bien ceux qui s'enfermait dans les toilettes, faisant un grimasse de dégoût à cet troisième option je me changea rapidement pour mon uniforme bleu clair d'interne heureux d'être ici aujourd'hui. J'étais arriver à l'avance et la visite médical ne ce ferait que dans une heure, sortant des vestiaires je pris un classeur pour voir les patients qui avait été admis pendant la nuit, aucun cas de bien intéressant me faisait de l’œil, je les laisserais ce battre entre eux cet fois.

marchant dans les couloirs, je regardais les portes des patients avant de finalement rentrer dans un couloir qui m'était encore inconnu, à vrai dire il est rare que je n'aie rien à faire mes les résidents était à l’appelle du chef pour les nouveaux internes et les internes de la même années que moi n'était pas encore arriver!

L'année venait de commencer, et pourtant je n'étais pas aux mieux de ma forme, beaucoup de chose me travaillait sur ma vie avant, est-ce-que j'ai fais les bon choix, vais-je le regretter un jour ou non? Appuyer contre une vitre quelconque je repensais à Sidney, passant une main dans mes cheveux je fermais les yeux, avant qu'une infirmière vienne me crier dessus comme quoi mon métier n'était pas de me pavaner dans les couloirs, levant les yeux au ciel je lui fis un signe de la main pour lui faire comprendre d'aller voir ailleurs si j'y étais. Me tournant face à la fenêtre j’apercevais des bébés, en me rendant compte que j'étais dans le service de maternité, service que je tentant d'éviter par tout les moyens, pourquoi? Parce que un sentiment indescriptible me prenais à la gorge quand je voyais un enfant, un enfant que j'ai failli, que j'aurais du avoir un enfant que j'aimais déjà malgré la tromperie de sa mère. Même si parfois je me dis que c'est mieux qu'il ne soie pas né après tout comment un enfant peux vivre convenablement avec des parents divorcée? Pour moi élever un enfant dans ces conditions ce n'est pas juste.

La main collée à la vitre je regardais une petite fille juste devant moi qui me faisait des petits signe de la main en souriant, et les larmes me sont montée au yeux. Je n'essayais même pas de les cacher et je ne comprenais pas pourquoi je pleurais après tout cet enfant je ne l'avais vu, je ne l'avais jamais porté comment j'ai pu l'aimer sans ça? Après quelques instants à regarder la petite fille je me suis sécher les larmes et je me suis remis à marcher dans les couloirs avant de faire demi-tour et de sortir du quartier de la maternité, séchant mes larmes je marchais tranquillement dans le couloir avant de me faire méchant agresser par une secrétaire. Les yeux aussi rond que ceux d'un poisson je la fixais sans rien comprendre ce qu'elle étais entrain de me dire. «  je comprend rien, parle moins vite, ou parle pas du tout. »
Revenir en haut Aller en bas
Mercury E. Burke

Mercury E. Burke

♦ Messages : 90
♦ Date d'inscription : 13/10/2011
♦ Dans le service : Partout en même temps


▷ Croire en soi c'est presque réussir  Empty
MessageSujet: Re: ▷ Croire en soi c'est presque réussir    ▷ Croire en soi c'est presque réussir  EmptyVen 14 Oct - 3:43



Le réveil n’avait même pas encore sonné que Mercury était déjà debout. Enfin, plutôt accroupie devant les toilettes. Ces nausées matinales commençaient sérieusement à la rendre folle. C’était bien beau de mettre au monde un enfant, de donner la vie, mais il fallait voir ce qu’il y avait derrière tout cela. Tous ces petits inconvénients dont on se passerait bien. Le pire, c’était que la jeune femme ne supportait ni cette vue, ni cette odeur. Alors oui, cela lui était on ne peut plus pénible, malheureusement. Mais elle n’avait pas trop le choix en même temps ; d’autant plus que la joie d’avoir cet enfant, d’ici quelques mois, surpassait tout ceci. Elle faisait avec, comme on dit. Après son petit passage aux toilettes, elle alla se brosser les dents, et se préparer. Soul dormait encore, et elle ne comptait pas le réveiller. Il était toujours bougon quand on le réveillait avant l’heure, et de toute façon, il ne se lèverait probablement pas avant que le réveil n’ait sonné. Au moins, Mercury pouvait se préparer tranquillement, et prendre tout le temps dont elle avait besoin. Quelques minutes plus tard, alors qu’elle venait de finir de se préparer, le réveil sonna, et son mari émergea, tant bien que mal. La jeune femme alla se coucher à ses côtés quelques instants, en souriant, et l’embrassa tendrement, avant de retirer sauvagement la couverture, de se lever, et d’aller ouvrir en grand les volets. Bien sûr, Soul ne tarda pas à ronchonner, mais au moins, il le faisait en se levant.

MERCURY ▬ Hop, hop, hop, dit-elle en lui tapant les fesses. Ton café serait prêt dans cinq minutes, pas une de plus.

Tous deux savaient très bien ce que cela voulait dire. Soul allait devoir se dépêcher, comme tous les jours, s’il ne voulait pas que son café refroidisse, chose qu’il détestait. Tandis qu’il se dirigeait vers la salle de bain, Mercury, elle, alla faire le café en question, et ouvrit une boite de crackers. Ca aidait pas mal pour les nausées matinales. C’est sûr que ce n’était pas un super petit déjeuner, mais c’était déjà ça. Elle fit également un chocolat chaud, car elle ne supportait pas le café, prépara le petit déjeuner de monsieur et s’installa, en l’attendant. C’est ainsi qu’ils discutèrent tout en se préparant pour la journée qui les attendaient, avant de partir, quelques instants plus tard, pour l’hôpital. Heureusement qu’ils habitaient à côté. Cela présentait des tonnes d’avantages. Ils pouvaient se lever un peu plus tard, puisqu’ils n’avaient pas beaucoup de trajet à faire. Ils étaient à proximité s’il y avait la moindre urgence, etc… En entrant dans l’hôpital, leurs chemins allaient se séparer pour la journée. Il allait monter en chirurgie, et elle allait rejoindre le secrétariat. Bien que leurs deux professions, certes différentes, soient liées, il était à vrai dire assez rare qu’ils se croisent quelque part. Mercury n’avait en général pas une seule minute à elle, car la principale différence entre le cabinet médical et l’hôpital était qu’elle ne dépendait plus d’un seul médecin, mais de l’ensemble de l’équipe médicale. Par conséquent, il n’était pas rare qu’elle court à droite à gauche, et ce, sans arrêt. Cela ne l’empêchait pourtant pas de porter des talons aiguilles… Enfin bref. Ils s’embrassèrent avant d’aller chacun de leur côté. La secrétaire de garde cette nuit-là lui fit un petit débriefing, et, à peine sa blouse enfilée, même si elle ne commençait officiellement que dans une demi-heure, un dossier attira son attention. Il s’agissait d’un dossier de pédiatrie, que l’on réclamait dès à présent. Ni d’une ni de deux, elle monta au deuxième étage, et alla chercher le médecin en charge de ce dossier, afin de le lui donner.

Mais en passant devant la maternité, alors qu’elle allait redescendre, un jeune homme attira son attention. Jayson Avery-Windsord. Enfin, plutôt Dr Avery. Ce jeune interne qu’elle n’appréciait pas vraiment. Elle voulu partir, ne désirant pas s’attirer des problèmes dès maintenant, mais, elle l’entendit renifler. Était-il en train de pleurer ? Et que faisait-il là, d’ailleurs, devant la mater’ ? Elle l’observa quelques instants et vit qu’effectivement, il pleurait. Lorsqu’elle vit qu’il allait bouger, elle prit de l’avance, et lui tomba dessus par la suite. Ca l’avait presque rendue folle de le voir, lui, dans cet état. Ou alors était-ce les hormones ? Toujours était-il qu’elle s’était emballée, et n’avait pas articulé pour un sous, ce qu’il lui fit remarquer.

MERCURY ▬ J’ai pas rêvé, hein ? J’ai bien vu des larmes couler le long de tes joues ?!
Revenir en haut Aller en bas
Z. Jayson Avery-Windsord

Z. Jayson Avery-Windsord

♦ Messages : 138
♦ Date d'inscription : 11/10/2011
♦ Dans le service : **
♦ Citation : Certains pensent que le vol du corbeau guide les voyageurs jusqu'à leur destination, d'autres croient que la vue d'un corbeau solitaire est un heureux présage. Par contre si l'on en voit plusieurs à la fois les ennuis sont à prévoir, enfin voir un corbeau avant la bataille signifie que la victoire est à vous.


- HERE WE STAND.
Statut : Célibataire
Relations :

▷ Croire en soi c'est presque réussir  Empty
MessageSujet: Re: ▷ Croire en soi c'est presque réussir    ▷ Croire en soi c'est presque réussir  EmptyVen 14 Oct - 5:09

▷ Croire en soi c'est presque réussir  Tumblr_lpoabulno61qm0csb

Avant de monter me préparer j'avais poser quelques annonces dans les services de l'hôpital pour faire savoir que je cherchais des colocataires pour mon nouvel appartement qui avait été fini d'être rénové. J'avais passer les vacances à le mettre en place avec mes meubles, prenant ma chambre et en laissant libre de création quatre autre chambres. En sortant mes affaires des cartons il y avait encore des affaires à Sidney, des photos ou elle apparaissait dessus. Des photos des amis que j'avais à la fac, roulant tout sa en boule je les jetais dans la poubelle avec aucune envie de les revoir. Finalement j'avais passer une semaine à voyager dans plusieurs petite ville pour me vider l'esprit et réviser quelques trucs en tranquillité. Une fois revenu j'ai cru que c'était bon que tout étais parfaitement ordonné dans ma tête et que je pourrais avancer normalement sans avoir besoin de penser au passer au moment vécu pour arriver à sourire normalement. Mais il ne faut plus que je pense à cela.

On pense tous qu'on arrivera à faire des choses formidable, que les personnes qui nous sont proches seront fière de nous. Qu'on arrivera à gravir les montagnes. Mais pourquoi on ne pense pas à être fière des choses que l'ont fait tout les jours?

Voilà le discours que le chef nous servait au début des années d'internat, heureusement j'étais dans ma dernière années et c'était la dernière fois que j'entendais ça. Enfin je l’entendais à moitié puisque les internes de même années que moi nous ne faisions que discuter. Et sa me changeais radicalement les idées. Pourtant après ça au fond j'étais complètement seul, comme aujourd'hui, ou les premières années commencent leur travaille, et moi je haire dans les couloirs de la maternité lieu que j'ai évité pendant tellement d'années et maintenant je me retrouvais dedans et en plein dedans ! Après une baisse de forme je suis sortis de ce couloir en voulant sortir de l'hôpital pour prendre l'aire et de boire un café et peut-être fumer une cigarette également ou peut-être pas après tout je sais que mon résident ne supporte pas quand je sens la fumée, mais j'ai tellement eu le temps d'inventer un stratagème pour ne pas porter l'odeur de la fumée sur moi.

Marchant dans les couloirs, je fixais le sol en regardant mes pieds évitant de temps en temps les mères qui marchait et qui était sur le point d'accoucher avant de finalement être presque heurter par Mercury la secrétaire médical que je ne supportait pas vraiment. « J’ai pas rêvé, hein ? J’ai bien vu des larmes couler le long de tes joues ?! » levant les yeux au ciel je me retournais pour être face à elle en m'appuyant contre le comptoirs des infirmiers du département. La regardant droit dans les yeux j'aurais eu envie de pleurer encore plus que ce que je viens de faire, j'ai envie de l'envoie bouler tellement fort aussi. « Pourquoi tu as l'air choquée ? Tu pensais que j'étais fais de pierre ? Et tu n'as pas rêver. » finissant à peine ma phrase que je recommençais à marcher dans le couloir en direction de ascenseur.
Revenir en haut Aller en bas
Mercury E. Burke

Mercury E. Burke

♦ Messages : 90
♦ Date d'inscription : 13/10/2011
♦ Dans le service : Partout en même temps


▷ Croire en soi c'est presque réussir  Empty
MessageSujet: Re: ▷ Croire en soi c'est presque réussir    ▷ Croire en soi c'est presque réussir  EmptyVen 14 Oct - 6:25



La jeune femme n’avait jamais apprécié le Dr Avery jusqu’à maintenant. Après tout, il était le genre de médecin à vous regarder de haut, parce qu’il était plus haut placé que vous. Cet interne qui se voyait déjà en haut de la fiche. Qu’un titulaire la traite de cette façon passait encore, bien qu’elle détestait qu’on lui balance un dossier sur son bureau, et qu’on lui donne un ordre sans la moindre marque de politesse, mais, les titulaires en imposaient. Ils étaient là depuis longtemps, et étaient doués. Alors qu’un interne avait encore beaucoup de chose à apprendre, aussi bien dans le domaine médical, et en l’occurrence le domaine chirurgical, que dans les relations humaines. Il était le genre d’homme qu’on avait bien du mal à supporter plus de cinq minutes, et qui, tôt ou tard, agissait toujours comme un con. Il fallait dire ce qui était. Tandis que la jeune femme se trouvait au second étage, pour apporter un dossier, elle le vit devant la mater’, ce qui eut le don de la surprendre. Durant quelques instants, elle se dit que d’ici quelques mois, sans enfant à elle se trouverait dans ces couffins, et que se serait à son tour de passer par cette étape qu’est l’accouchement. Bientôt, elle ne serait plus une simple femme. Ni une épouse. Elle serait mère, et ça changerait tout. Mais elle chassa bien vite cette pensée en l’entendant renifler. Oui, il avait l’air de pleurer, et ça, c’était surprenant. Tellement surprenant qu’elle avait les yeux grands ouverts, et écarquillés. Allez savoir si les hormones avaient joués un rôle dans sa soudaine euphorie, mais Mercury avait eu l’impression de faire une découverte inattendue et incroyable. C’était comme si elle venait de trouver un fragment de fossile, de météorite, ou qu’elle avait trouvé le remède contre le cancer, contre la sclérose en plaque. Bref, quelque chose de fou, si on peut dire ça comme ça. Quand elle le vit bouger, elle prit les devants, ne voulant tout d’abord pas être vue. Et bien oui, une telle trouvaille, ça se gardait bien au chaud, jusqu’au moment propice, non ? Non, pas vraiment. C’est pour cette raison qu’elle lui tomba finalement dessus. Si, au début, elle avait bafouillé, parlé à une vitesse incroyablement rapide, et s’était simplement contentée d’ouvrir la bouche, sans prendre la peine d’articuler, elle rouvrit la bouche par la suite, après qu’il lui ait demandé de ralentir la cadence, tout en lui faisant par de sa stupeur. Au fond, oui, elle avait l’impression d’avoir rêvé. Mais la grossesse ne provoquait pas d’hallucination, alors non, ce n’était pas possible.

Il venait de lui demander pourquoi elle avait l’air si stupéfaite, et de lui assurer qu’il avait bel et bien pleuré. Cependant, il ne lui laissa pas le temps de rétorquer qu’il continua son chemin. Surprise, une nouvelle fois, Mercury resta plantée là quelques secondes avant de lui courir après, et de se planter devant lui.

MERCURY ▬ Euh, ouiii ! Dit-elle en hochant la tête comme une folle. C’est l’impression que tu donnes à touuuut l’hôpital, tu sais ? Un con est fait de pierre, et tu nous montres que tu l’es. Tout le monde ici aurait réagit de la même manière que moi s’ils t’avaient surpris.

Elle n’avait pas vraiment mâché ses mots, mais elle ne le faisait jamais. Elle était comme ça. Même si elle était timide sur les bords, surtout avec les gens qu’elle ne connaissait pas, et en dehors de son travail, elle restait franche et honnête. Elle voulut continuer, mais elle sentit la nausée arriver. Mince… Voyant qu’il allait répliquer elle leva son index devant lui, plaqua son autre main contre sa bouche, et s’empressa d’aller aux toilettes. Heureusement qu’il y en avait plusieurs dans un hôpital ! Et heureusement que ceux-ci n’étaient pas loin. Après tout, elle ne se voyait pas en train de vomir sur lui… Rien qu’en y pensant, la jeune femme se dit qu’elle avait eu de la chance. Elle aurait put avoir de sérieux problèmes si elle n’avait pu se retenir.
Revenir en haut Aller en bas
Z. Jayson Avery-Windsord

Z. Jayson Avery-Windsord

♦ Messages : 138
♦ Date d'inscription : 11/10/2011
♦ Dans le service : **
♦ Citation : Certains pensent que le vol du corbeau guide les voyageurs jusqu'à leur destination, d'autres croient que la vue d'un corbeau solitaire est un heureux présage. Par contre si l'on en voit plusieurs à la fois les ennuis sont à prévoir, enfin voir un corbeau avant la bataille signifie que la victoire est à vous.


- HERE WE STAND.
Statut : Célibataire
Relations :

▷ Croire en soi c'est presque réussir  Empty
MessageSujet: Re: ▷ Croire en soi c'est presque réussir    ▷ Croire en soi c'est presque réussir  EmptySam 15 Oct - 3:51

▷ Croire en soi c'est presque réussir  Tumblr_lpoabulno61qm0csb

« Euh, ouiii ! Dit-elle en hochant la tête comme une folle. C’est l’impression que tu donnes à touuuut l’hôpital, tu sais ? Un con est fait de pierre, et tu nous montres que tu l’es. Tout le monde ici aurait réagit de la même manière que moi s’ils t’avaient surpris » Le moment ou elle ma dit ça j'ai pris comme une baffe en pleine tronche, la regardant dans les yeux je ne savais pas vraiment quoi répondre, je savais que je n'étais pas le plus tendre, le plus lèche cul, le plus gentil. Non j'étais solitaire, j'étais pour moi et seulement pour moi après tout je fais tout pour réussir mes examens pour passer résident. Mais c'est vrai que les raisons sociale, ce faire des amis n'avais jamais été vraiment dans mes priorités. Voulant rétorqué quelque chose mais elle me fis un signe de main en ce tenant la bouche, je compris rapidement qu'elle était enceinte.

La voyant rentrer dans les toilettes je levais les yeux avant de voir une infirmière qui me cherchais « Bon dieu à quoi vous sert votre biper on se le demande » Me tournant vers elle je la regardais en attendant qu'elle dise quelque chose « On vous demande aux urgences » regardant en direction des toilettes, avant de faire un geste de la main et de me diriger au fond du couloir accompagné de l'infirmière « C'est une jeune femme de 23 ans qui souffre de douleur thoracique  » Passant une main dans mes cheveux, je regardais le dossier. «  Elle fait de l'asthme ? Non ? Bon alors faite lui un scan et voyons si c'est peut-être dorsalgie comme elle a eu des problèmes de dos figurant dans son dossier. Envoyer la à l'étage et mettez la dans une chambre après, et je passerais la voir pendant le scan. », « Bien docteur. »

Répondant au téléphone, cette fois la journée avait commencer tout l'hôpital était entrain de ce réveiller et pas tranquillement du tout. Me dirigeant toujours vers l’ascenseur je vis Mercury arriver près de moi, raccrochant le téléphone en disant que oui j'arrivais au urgences. Me tournant enfin vers la jeune femme qui m'avait rejoins pour je ne sais qu'elle raison «  Pour revenir à notre conversation, oui peut-être que je n'ai pas de cœur, peut-être que touuuut le monde me prend pour un con. Mais personne ne sais que j'ai grandit dans le quartier le plus horrible de Miami, que j'ai été marier qu'elle ma tromper qu'elle a perdu l'enfant qu'elle portais et qu'on a divorcé alors oui, M'dame j'ai bien le droit d'être froid et de ne pas faire dans le social quand mon boulot c'est de sauver des vie. » arquant un sourcil, j'appuyais sur le bouton pour appeler l’ascenseur en soupirant légèrement.

Entrant à l'intérieur avec elle, je fermais les yeux «  alors je suis toujours un pauvre con sans cœur ? » me tenant droit attendant de sortir de l’ascenseur mais la jeune femme ne répondit rien, alors je franchis la porte en me dirigeant à la mine comme on l’appelait ici.
Revenir en haut Aller en bas
Mercury E. Burke

Mercury E. Burke

♦ Messages : 90
♦ Date d'inscription : 13/10/2011
♦ Dans le service : Partout en même temps


▷ Croire en soi c'est presque réussir  Empty
MessageSujet: Re: ▷ Croire en soi c'est presque réussir    ▷ Croire en soi c'est presque réussir  EmptyJeu 20 Oct - 3:45



Mercury lui avait couru après pour lui dire que oui, vu sa façon de se comporter, elle croyait qu’il était fait de pierre. En même temps, elle ne le connaissait alors pas plus que ça, et forcément, puisqu’il donnait l’impression d’être un de ces types qui agissent comme des cons, elle croyait qu’il en était un. A peine eut-elle dit sa phrase qu’une nausée vint tracer son chemin le long de son œsophage. La jeune femme leva alors son index devant elle, pour l’empêcher de rétorquer maintenant, et comme pour lui dire qu’elle avait besoin d’une petite minute, et qu’elle reviendrait juste après. Ce qu’elle comptait bien faire d’ailleurs, car en aucun cas, elle ne laisserait cette discussion là où elle en était. Mercury couru alors jusqu’aux toilettes, manquant plus d’une fois de se tordre la cheville. Non, vraiment, les talons n’étaient absolument pas pratique pour ce genre de situation, mais elle en porterait tant qu’elle le pourrait, c’est-à-dire, jusqu’à ce que son ventre ressemble à un ballon de foot. Accroupie devant la cuvette, la jeune femme ne put s’empêcher de maudire une nouvelle fois ces nausées matinales. Vivement qu’elles se terminent ! Lorsqu’elle eut finit, la jeune femme s’essuya la bouche avec du papier toilette, se leva, tira la chasse, et alla se rincer la bouche, et se laver les mains avant de sortir des toilettes. En revenant sur ses pas, elle fut surprise de ne pas y voir Jayson. Il ne l’avait pas attendu ! Peut-être n’avait-il pas envie de terminer cette conversation… Ou peut-être avait-il, tout simplement, été appelé en urgence pour un quelconque problème avec un patient. Allez savoir.

C’est, déçue, que la jeune femme continua son chemin vers l’ascenseur, pour gagner son bureau. Et c’est là qu’elle vit Jayson. Elle soupira légèrement, et accéléra le pas pour le rattraper. Le jeune homme était au téléphone, et elle l’entendit simplement dire qu’il viendrait aux urgences avant qu’il ne raccroche. Elle voulut ouvrir la bouche, mais il fut le premier à parler. Mercury l’écouta alors attentivement. Une douche froide. Voilà ce qu’elle venait de prendre. Suite aux révélations du jeune homme, elle fut tout d’abord incapable de parler. Elle se contenta alors de baisser les yeux, murmurant un « Oh ! » à peine audible. Elle se contenta d’entrer dans l’ascenseur avec lui, tout en cherchant quoi répondre à cela. Ses neurones étaient chauffés à bloc. Elle ne s’était pas attendue à de telles révélations, et maintenant, pour l’une des rares fois de sa vie, elle ne savait que dire. La jeune femme venait de perdre ses moyens. Alors, pendant le cours laps de temps que l’ascenseur mit à descendre, elle s’était tut, cherchant ce qu’elle pouvait bien répondre à tout cela. En fin de compte, elle n’avait même pas entendu la dernière remarque du jeune homme. Lorsqu’il franchit la porte, elle ne le réalisa pas non plus, et resta quelques secondes de plus dans l’ascenseur, avant de finalement en sortir de justesse lorsqu’elle vit que les portes se refermaient. Mercury rattrapa à nouveau son retard sur le jeune homme et se planta devant lui. Cette fois, elle savait quoi lui dire.

MERCURY ▬ Non. Ton boulot ne consiste pas qu’à sauver des vies. Justement, il y a une grande part de social dans ton boulot. Peut-être même plus que dans le mien, pour être honnête. Tu es sensé rassurer les gens, leur expliquer comment tu vas leur sauver la vie, leur dire que tout ira bien. Alors non, tu n’as pas le droit d’être froid. Et je ne comprends pas, après tout ce qui t’es arrivé, tout ce que tu as vécu, ce dont je suis d’ailleurs désolée pour toi, comment tu peux agir de la sorte. Avec des patients ou des collègues, puisque le social, c’est ce qui fait ton boulot, et que la politesse n’a jamais tué quelqu’un. Voilà.

Elle resta à nouveau plantée devant lui, en fixant son regard dans le sien. Il y avait là comme un air de déjà vu, puisqu’elle s’était déjà plantée devant lui de la sorte, quelques instants plus tôt.
Revenir en haut Aller en bas
Contenu sponsorisé





▷ Croire en soi c'est presque réussir  Empty
MessageSujet: Re: ▷ Croire en soi c'est presque réussir    ▷ Croire en soi c'est presque réussir  Empty

Revenir en haut Aller en bas
 

▷ Croire en soi c'est presque réussir

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut 

 Sujets similaires

-
» Croire en la vie [pv Erza Gabriel Rosten]
» PENELOPE - 100 % ♣ Presque tous les hommes meurent de leurs remèdes, et non pas de leurs maladies.
Page 1 sur 1

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
HOW TO SAVE A LIFE :: MENPHIS WAVE :: ✃ 2EME ETAGE :: ▷ LA MATERNITE-